OPINION
AbonnéOPINION. Quels que soient les engagements pris par les décideurs lors d’une conférence internationale sur le climat, ceux-ci doivent ensuite trouver l’approbation des populations à l’échelle nationale

Pour Le Temps, Bertrand Piccard tient, ces deux prochaines semaines, une chronique de la COP26 à Glasgow, à laquelle il participe.
Chroniques précédentes:
Notre dossier spécial: COP26, entre espoir et pessimisme
Lors d’une réunion comme la COP26, on assiste en fait à la cohabitation de trois mondes: celui qui veut changer le système (mais ne sait pas comment s’y prendre); celui qui résiste au changement (cherchant à maintenir le statu quo le plus longtemps possible); et enfin celui des décideurs qui doivent prendre des engagements. Jusqu’ici, ces trois mondes semblaient vivre en confrontation permanente. Aujourd’hui, l’évolution de la situation et des solutions leur permet de tirer à la même corde.