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AbonnéOPINION. Les cadres de demain devront s’occuper autant de leurs équipes que de la planète, et il est indispensable que leurs formations bifurquent vers des profils plus modestes, plus polyvalents et plus volontaires, expliquent Arnaud Chevallier et Knut Haanaes, professeurs à l’IMD de Lausanne

Ce texte fait partie d'une semaine spéciale de débats consacrés aux défis économiques de la crise climatique.
Premier jour: (Dé)croissance et /dé)mesures Découvrez la présentation de cette opération
Deuxième jour: Le rôle des consommateurs Découvrez la présentation de cette opération
Troisième jour: Le rôle des entreprises Découvrez la présentation de cette opération
Il y a quelques années, l’un de nous a aidé à redessiner les contours du cursus de premier cycle de son université. L’un des principaux objectifs était de faire des étudiants des citoyens plus éthiques. Rapidement, l’idée de proposer un simple cours d’éthique s’est avérée insuffisante. Il fallait des étudiants au comportement éthique à tous les niveaux de leur cursus et dans leurs activités extrascolaires. Autrement dit, l’éthique devait imprégner chaque strate de leur éducation.