Comme aucun des gouvernements qui se disent démocratiques ne daigne poser aux populations concernées la question de leur éventuel sacrifice pour le Donbass ou la Crimée, chacun d’entre nous devrait se la poser en son for intérieur. Que ceux qui poussent à la guerre, au nom du droit qu’aurait chaque pays à se défendre, réfléchissent bien aux conséquences de ce conflit sur eux, leurs familles et proches. Au contraire, que ceux qui y sont opposés, et qui mettent au premier plan le droit de vivre et d’être respecté, se fassent entendre.