Débats
AbonnéOPINION. La nature étant un espace fini, nous devons volontairement nous diriger vers une économie stationnaire avec moins de pollution et plus de partage, argumente l’économiste Timothée Parrique. Ce qui implique de repenser notre conception du travail et notre définition de la prospérité

Ce texte fait partie d'une semaine spéciale de débats consacrés aux défis économiques de la crise climatique.
Premier jour: (Dé)croissance et /dé)mesures
Découvrez la présentation de cette opération.
Confrontés à l’insuffisance des politiques de «croissance verte» et à l’exacerbation des cataclysmes environnementaux, les pays à haut revenus se retrouvent dans une impasse que l’on pourrait résumer par la formule suivante: entre produire plus et polluer moins, il va falloir choisir.