Réponse aux anti-«woke» de gauche et de droite
OPINION
AbonnéOPINION. Nous ne pouvons pas attendre des personnes violentées qu’elles demandent poliment aux acteurs des violences qu’elles subissent si ceux-ci veulent bien arrêter, écrit Maxime Rotzetter, enseignant de philosophie et de science des religions à Fribourg

Que ce soit en France ou en Suisse, il y a une déferlante de tribunes indignées, d’émissions caricaturales et de débats contre le wokisme et la cancel culture. La contradiction n’étant pas toujours présente, il m’a semblé intéressant de leur proposer une réponse groupée, car la plupart s’appuient sur les mêmes arguments bancals.