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A bord du Diamond Princess au Japon, de la croisière paradisiaque à l’enfer du coronavirus

La situation du paquebot en quarantaine à Yokohama est préoccupante. Le gouvernement nippon est attaqué de toutes parts pour son incurie. Et les passagers sont au mieux désemparés, au pire très inquiets du flou sanitaire qui nimbe cette affaire

Les préparatifs d’évacuation du Diamond Princess dans le port de Yokohama, ce vendredi matin au Japon. — © Charly Triballeau/AFP
Les préparatifs d’évacuation du Diamond Princess dans le port de Yokohama, ce vendredi matin au Japon. — © Charly Triballeau/AFP

La «Princesse de diamant» n’est pas la seule à avoir des ennuis. Les centaines de passagers du navire de croisière américain Westerdam, interdit dans cinq ports asiatiques par crainte du nouveau coronavirus, ont commencé à débarquer vendredi au Cambodge après plus de dix jours d’errance en mer, ont constaté des journalistes de l’Agence France-Presse (AFP). Les premiers ont été accueillis dans la matinée à Sihanoukville par le premier ministre cambodgien, Hun Sen, qui leur a offert des fleurs en signe de bienvenue.

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