En Grèce, le journal de gauche Efsyn dénonce des «pratiques inacceptables consistant à instrumentaliser la souffrance des réfugiés» et cite le chef du Département des affaires étrangères de l’ancien parti au pouvoir Syriza, lequel exhorte son pays à porter l’affaire au plus haut: «La Grèce doit immédiatement internationaliser la question des 92 réfugiés de l’Evros, à l’ONU et à l’UE.»