Revue de presse
AbonnéSe cloîtrer s'est avéré relativement simple. Le mouvement inverse semble maintenant beaucoup plus complexe et anxiogène pour beaucoup de futurs ex-confinés. Les médias décryptent

Plus de 290 000 morts à ce jour. Et depuis plus de deux mois, «tout ce temps à attendre impatiemment la libération…» écrivait il y a quelques jours El País à Madrid, capitale d'un pays où les restrictions pour stopper la propagation du nouveau coronavirus ont été très dures. «Et voilà que chez certains, c’est l’hésitation», a constaté le quotidien espagnol dans un article repéré par Courrier international. C'est ce qu'on appelle désormais le «syndrome de la cabane». Ou la peur des préfixes devant le mot «confinement» qui changent tout. Après le «dé», le re»? Horror, vade retro, corona!