«Le sujet était déjà électrique après les manifestations Black Lives Matter», aux yeux de l’Agence France-Presse (AFP). En pleine introspection sur le passé colonial britannique, le prince Harry a touché une corde sensible en affirmant que le racisme avait joué une «grande part» dans sa décision de quitter le Royaume-Uni avec Meghan. Le chemin parcouru est considérable pour le second fils de Charles et Diana, qui – rappelons-le – avait fait scandale dans sa jeunesse en arborant le symbole nazi dans une soirée et en traitant un de ses camarades de «Paki».