Une «nuit de rêve» portugaise qui aura vu la naissance d'une star et l'«humiliation puissance 6» de la Suisse
Revue de presse
AbonnéSi la presse internationale s'intéresse au match flamboyant du Portugal, sur fond de «passage de témoin» entre Ronaldo et Ramos, les journaux suisses, eux, se concentrent sur l'«échec total» de la Nati et de son entraîneur

L’équipe portugaise est-elle meilleure quand Cristiano Ronaldo n'est pas sur le terrain? La question anime les commentateurs après la victoire 6 à 1 du Portugal contre la Suisse ce mardi à Doha en huitième de finale de la Coupe du monde de football. «Une question que tous les adorateurs de CR7 […] ont dû considérer comme une infâme forme de blasphème», imagine la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). Une question pourtant légitime, tant la performance des Portugais a convaincu les observateurs, alors que la star jusqu’ici incontournable de l’équipe n’avait pas été titularisée par le sélectionneur Fernando Santos, une première depuis plus de 15 ans lors d’un grand tournoi.