OPINION
AbonnéOPINION. La possible intégration de la Suède au sein de l’OTAN, rompant avec sa neutralité maintenue depuis 1814, est souvent présentée comme la conséquence de l’agressivité de Vladimir Poutine. Les faits sont cependant plus complexes, selon Philippe Migault, directeur du Centre européen d’analyses stratégiques

Publicité