Tomates espagnoles ou avocats du Pérou?
Logique écologique (2/3)
AbonnéOn les consomme en toute saison, mais l'on devrait s'abstenir. Les deux fruits sont si gourmands en eau qu'ils imposent de la retenue de notre part

Les petits gestes pour la planète n’en sont en réalité pas toujours. Dans cette chronique, on tente de distinguer le vrai du faux et de l’à peu près.
Episode précédent:
Avouez. Vous avez déjà craqué, un joli jour d’avril, pour une salade caprese. Vous le savez, mais tant pis: les tomates viennent de loin, sont cultivées de manière trop industrielle, cueillies par des personnes dont les conditions de travail laissent à désirer. Mais aussi, et peut-être surtout, elles nécessitent des quantités d’eau invraisemblables. Mais que dire alors des avocats du continent américain, qui se sont fait une jolie place sur nos étals ces dernières années?