J’ai mal à la France. Je la raimais. J’allais de nouveau, sur le tard, traîner dans ses vallées et ses bois, dans les vieilles rues étroites de sa capitale, même masqué. Et des égarés, avides de mort, maniaques armés de grands couteaux, sont venus, au stupide nom d’Allah, poignarder, égorger des graphistes à Paris, un prof devant son collège, des paroissiens à Nice. J’ai mal aussi parce que dans cette tragédie les Français se déchirent – pas tous: les bavards des bords de Seine.