Opinion
AbonnéOPINION. Dans une récente tribune, deux psys s’interrogeaient sur la nécessité d’empêcher à l’avenir des personnalités souffrant de troubles psychiques d’exercer le pouvoir. Shirin Hatam, de Pro Mente Sana, répond que le cas Trump ne doit pas nous entraîner à restreindre les droits des personnes souffrant de troubles psychiques

Une libre opinion de Stéphanie Baggio, docteure en psychologie, et Eric Luke, psychiatre-psychothérapeute, récemment publiée par Le Temps (19 janvier 2021), pose sur Donald Trump un diagnostic psychiatrique qui amène à regretter que le droit constitutionnel ne permette pas «d’agir contre les personnes ayant des troubles psychiques», «au besoin contre leur gré», et cela au nom d’un «devoir de prévention des dérapages psychiques».