Opinion
AbonnéOPINION. Les principes de liberté et de démocratie ne s’appliquent pas en fonction des sympathies et des antipathies, ils sont ou ne sont pas, écrit le journaliste Guy Mettan

La prise d’assaut du Capitole par une bande d’émeutiers pro-Trump a suscité une vague d’indignation générale en Occident. Pendant quinze jours, c’était à qui hurlerait le plus fort pour dénoncer une tentative de coup d’Etat, un coup de force néonazi et suprémaciste, une attaque inqualifiable contre la démocratie. On s’en est réjoui. Il était temps, dirais-je même. On espère que ces belles âmes resteront éveillées pendant l’ère Biden.
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