C’est une première dans l’histoire horlogère récente. Le «désinvestissement» d’un groupe de luxe qui cède ses marques à la direction en place. Dix ans après avoir acheté Girard-Perregaux, sept ans après s’être offert Ulysse Nardin, ce lundi, le conglomérat français Kering a donc fermé une parenthèse: les deux marques des Montagnes neuchâteloises évolueront désormais «en toute indépendance».