OPINION
AbonnéCOMMENTAIRE. La plupart des prochaines votations fiscales à Genève visent non pas les ultra-riches, mais les patrons de PME

L’argument est facile: taxer davantage les riches, au nom de la solidarité et pour accroître les finances publiques. C’est l’abrégé qui sous-tend la plupart de ces futures votations genevoises, où la gauche fait œuvre utile auprès de son électorat en vue des élections.