Lire «Lolita à Téhéran»
OPINION. «Tous les régimes totalitaires ont une chose en commun: la peur de la bonne littérature», écrit Nadia Sikorsky, qui voit des ressemblances entre le Téhéran des années 2000 que raconte le livre d’Azar Nafisi et le système soviétique dans lequel elle a grandi, et où lire était aussi dangereux