Neurosciences
AbonnéUne étude bâloise parue le 6 octobre dans «PLOS One» montre que l’activité cérébrale préfrontale augmente lors d’un contact rapproché avec un chien ou un animal en peluche, l’activation la plus forte étant générée par le fait de caresser un vrai toutou. Interview de la psychologue Rahel Marti, qui a conduit cette recherche

On sait que caresser un chien, un chat ou encore un cheval peut avoir un effet bénéfique sur le stress et la dépression. Mais que se passe-t-il concrètement dans notre cerveau lorsque l’on rentre en contact avec nos amis à quatre pattes?