Depuis la découverte du boson de Higgs, en 2012 dans le Grand collisionneur de hadrons (LHC) construit sous la frontière franco-suisse, les physiciens rêvent de disposer d’une «usine à Higgs». «Aujourd’hui, de nombreuses mesures sur cette particule ont une précision de seulement 10%, explique Adam Falkowski, du Laboratoire de physique théorique d’Orsay, en région parisienne. C’est insuffisant pour répondre aux nombreuses questions que l’on se pose sur le Higgs. Avec le FCC, on pourrait atteindre une précision de 0,1%.» Un gain qui s’explique par le type de particules utilisées.