humanités numériques
AbonnéLes Archives d’Etat de Venise, une des trois parties prenantes de la Venice Time Machine, se retirent de ce vaste projet de recherche dirigé depuis Lausanne. L’EPFL clame son incompréhension

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Les Archives d’Etat de Venise, une des trois parties prenantes de la Venice Time Machine, se retirent de ce vaste projet de recherche dirigé depuis Lausanne. L’EPFL clame son incompréhension