médecine
AbonnéLes cyberchondriaques, ceux qui foncent sur internet au moindre symptôme, vont être heureux: une – modeste – étude montre que l’on établit des diagnostics plus précis lorsqu’on effectue des recherches sur internet

C’est un comportement qui a le don d’agacer les médecins et les proches: rechercher sur internet les causes d’un gratouillement, d’un chatouillement, ou de tout autre gêne. Au moindre pet de travers, les cyberchondriaques, comme on les appelle, se ruent chez docteur Google et s’auto-diagnostiquent des maladies, la plupart du temps de manière erronée. Vraiment? Une nouvelle étude parue cette semaine dans la revue JAMA Network Open suggère que ces messieurs Argan des temps modernes n’auraient pas tout faux à ce petit jeu.