Il est souvent résumé comme le GPS européen mais il aimerait s’émanciper de cette appellation. Galileo fonctionne seul depuis dix ans désormais: le 12 mars 2013, les satellites de l’Agence spatiale européenne (ESA) parvenaient pour la toute première fois à déterminer une position sur Terre sans utiliser les satellites américains du réseau GPS. Quelques mois plus tard, la Suisse entamait aussi sa participation au programme en promettant 34 millions d’euros chaque année.