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Grippe aviaire: un risque faible pour l’humain… pour l’instant

Hécatombe d’oiseaux sauvages, flambée de cas dans les élevages, le virus H5N1 de la grippe aviaire préoccupe. Les infections récentes chez des mammifères font craindre une adaptation du virus. Des experts appellent à plus de surveillance

Image d’illustration. Un condor californien prend son envol dans la région sauvage de Ventana à l’est de Big Sur, en Californie.  — © Marcio Jose Sanchez / keystone-sda.ch
Image d’illustration. Un condor californien prend son envol dans la région sauvage de Ventana à l’est de Big Sur, en Californie. — © Marcio Jose Sanchez / keystone-sda.ch

La lignée de virus H5N1 de la grippe aviaire attire les regards. Elle circule dans le monde depuis 1997, année de sa première épidémie dans des élevages à Hongkong, où elle a fait aussi ses premières victimes humaines, toutes par contact très rapproché avec de la volaille malade. H5N1 s’est ensuite propagé, et s’est réarrangé génétiquement à plusieurs reprises – une spécificité des virus grippaux qui mutent souvent et peuvent «remixer» leurs gènes entre cousins – pour produire de nombreuses nouvelles lignées, responsables ponctuellement de contaminations chez l’humain.

Lire aussi: La flambée de grippe aviaire soulève la question de la vaccination des oiseaux d’élevage

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