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Loi climat: tout comprendre des émissions négatives de CO2 en cinq questions

La loi sur le climat et l’innovation, qui sera soumise au vote le 18 juin, s’appuie sur la capture et le stockage du carbone pour compenser les émissions des secteurs les plus difficiles à décarboner. Explications

Une affiche du Parti Socialiste invitant à voter oui pour la loi sur le climat le 16 mai 2023 à Lausanne. — © LAURENT GILLIERON / KEYSTONE
Une affiche du Parti Socialiste invitant à voter oui pour la loi sur le climat le 16 mai 2023 à Lausanne. — © LAURENT GILLIERON / KEYSTONE

Comme de nombreux pays ayant ratifié l’Accord de Paris, la Suisse ambitionne d’atteindre la neutralité carbone en 2050, afin de contribuer aux efforts internationaux de lutte contre le changement climatique. La nouvelle loi sur le climat et l’innovation, soumise à votation le 18 juin, précise la stratégie envisagée: il s’agit de réduire «le plus possible» les émissions helvétiques de gaz à effet de serre, mais aussi de recourir à des technologies dites «d’émission négative» pour «compenser l’effet des émissions de CO2 restantes». De quoi s’agit-il précisément? Que peuvent vraiment ces technologies? Voici ce qu’il faut savoir.

Lire aussi: Loi climat: le camp du oui dément vivement les surcoûts brandis par l’UDC

1) Les technologies d’émission négative, c’est quoi?

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