Un dérèglement des rythmes de sommeil ou de repas est le propre de l’adolescence, inutile de paniquer tant que ce n’est que temporaire, explique Sophie Vust. Mais si cela dure ou si le jeune en souffre, il est recommandé de consulter.
Les troubles alimentaires ne doivent pas être banalisés, car ils peuvent avoir des conséquences physiques et psychiques très sérieuses, insiste la psychologue. Environ 70% des jeunes filles concernées s’en sortent très bien et repartent sur des bases solides. Mais ces troubles, non-soignés, peuvent aussi devenir chroniques voire entraîner le décès.