La thèse d’un cabinet noir constitué d’épidémiologistes décidant de la politique de la Suisse ne tient pas la route. Il suffit de regarder l’année qui vient de s’écouler pour constater que le Conseil fédéral a plus souvent préféré ignorer les messages des scientifiques. Retour sur un déni scientifique non exhaustif en cinq dates.