C’est une visite qui ne passera pas inaperçue chez les physiciens quantiques de la Confédération. Lundi, après un passage au CERN dans la matinée, la ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, doit se rendre au laboratoire de physique et de communication quantique de l’Unige. Une reconnaissance du savoir-faire helvétique en la matière, que la relation complexe entre la Suisse et l’Union européenne risque pourtant d’abîmer.