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OGM ou la technologie «Frankenstein»

En 1859, Charles Darwin, dans son œuvre «L’Origine des espèces», confirme la théorie de l’évolution par sélection naturelle. Depuis, les chercheurs veulent accélérer le processus de sélection et de croisement par le génie génétique

Avant les OGM, il y avait la sélection naturelle. La plupart des végétaux consommés aujourd’hui en sont le résultat. — © Getty Images
Avant les OGM, il y avait la sélection naturelle. La plupart des végétaux consommés aujourd’hui en sont le résultat. — © Getty Images

Chaque vendredi de l’été, «Le Temps» retrace l’histoire de ces techniques qui ont fait peur à leur arrivée, bien avant la 5G.

Episodes précédents:

En Suisse, un moratoire exclut l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés (OGM) depuis bientôt quatorze ans. C’est le résultat de la volonté populaire qui s’est exprimée dans les urnes en mars 2005. Voté grâce à l’initiative «sans OGM» pour une période de quatre ans, il a été prolongé à trois reprises, jusqu’à novembre 2021. «Je suis en faveur d’un moratoire indéfini, s’exclame la conseillère nationale Isabelle Chevalley (Vert’libéraux, VD). Il devrait durer jusqu’à ce qu’on ait la certitude qu’il n'y a pas d'atteinte ni à la santé humaine ou animale ni à l’environnement.»

Lire aussi:  Les cultures OGM ne pousseront pas de sitôt en Suisse

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