biodiversité
AbonnéLe trafic d’animaux est plus important que prévu et toucherait environ 18% des mammifères, oiseaux, amphibiens et reptiles. Des scientifiques proposent un modèle permettant de prédire quelles espèces seront les prochaines sur la liste

Les scientifiques surveillent le phénomène avec inquiétude: l’effondrement de nombreuses espèces vivantes suggère que la planète se précipiterait actuellement vers sa sixième grande crise biologique. Le phénomène ne se limite pas aux insectes: les vertébrés aussi se raréfient, et plus vite que prévu en raison du commerce du vivant, conclut une nouvelle étude parue dans la revue Science datée du 4 octobre.