La «révolution» de l’agriculture urbaine s’appuie sur une pléthore d’initiatives, souvent spontanées et décentralisées. Chacune d’elles laisse entrevoir un tournant majeur dans notre façon de nous alimenter et dans notre conception de l’espace urbain: plants de tomates sur les balcons ou fermes verticales, poulaillers dans les arrière-cours ou ruches sur les toits, jardins communautaires ou forêts nourricières, les formes et les degrés de l’engagement varient grandement.