C’est un serment «à la vie à la mort» autour de secrets ou trésors, cachés dans une cour de récréation. Les 400 coups – et quelques coups de gueule ou serrements de cœur, dont on sait qu’ils ne rompront rien. Plus tard, des plats de pâtes engloutis dans les fous rires, des traces d’encre sur les doigts pendant les exas, la certitude que l’autre non seulement nous comprendra, mais sera là. Pour nous relever, nous élever, dans ce respect réciproque propre à l’amitié.