Pour les femmes victimes de violences domestiques, l’activité professionnelle se mue bien souvent en un pilier qui leur permet de maintenir tant bien que mal la tête hors de l’eau et d’échapper momentanément à l’horreur qu’elles vivent dans l’intimité de leur foyer. Pour celles dont la cellule familiale se transforme en enfer, l’environnement professionnel peut être perçu comme un refuge, mais également comment un moyen d’acquérir une autonomie financière. Un point central pour sortir de la violence domestique, comme le souligne le Bureau fédéral de l’égalité entre femmes et hommes (BFEG).