En 2017, Amandine Gay a «ouvert la voix». Dans un documentaire inédit, elle offrait à plusieurs femmes noires un espace de parole afin qu’elles se réapproprient le récit de leur propre histoire. Cinq années plus tard, dans le court métrage Une Histoire à soi, elle retraçait la quête identitaire de cinq personnes adoptées. La semaine dernière, la cinéaste française a publié Une Poupée en chocolat, son premier ouvrage dans lequel elle invite à repenser le concept de l’adoption, notamment transraciale, et la notion de famille dans nos sociétés.