Il ne veut pas revenir à l’éducation de grand-papa où l’autoritarisme rigide et le peu d’intérêt pour l’enfant transformaient les foyers familiaux en «palais des claques». Mais Didier Pleux, psychothérapeute en rupture avec le discours ambiant, reproche à l’éducation bienveillante ou positive d’aujourd’hui son absence totale de bon sens. Non, dit-il en s’opposant à Françoise Dolto, le bébé n’est pas une personne à part entière, mais une personne en devenir à qui il faut enseigner des règles de vie.