Psychologie
AbonnéSeulement 6,9% des victimes de ce fléau se confient à la maison, expose le psychopédagogue Bruno Humbeeck. Une réticence due à la peur de déstabiliser leurs géniteurs

Forcément, c’est un choc. Apprendre que son enfant est harcelé au sein de l’école ou, peut-être pire, qu’il est harceleur, bouleverse légitimement les parents. Pourtant, une fois la nouvelle assimilée, ces derniers doivent à tout prix gérer leurs émotions et rester des interlocuteurs constructifs et sécurisants pour leur enfant.