«C’était ma plus grande peur dans cette aventure: ne pas pouvoir communiquer aisément avec celle dont j’allais partager une relation proche de mon quotidien». Alex Schier ne cache pas le vertige qui l’a gagné en apprenant que Tanya, cette jeune femme de Lougansk à qui il s’apprêtait à ouvrir son appartement lausannois en mars, ne parlait ni un mot de français, ni un d’anglais. Pourtant, un mois après leur rencontre, la compréhension mutuelle fonctionne. Elle n’est toujours pas simple, ni fluide, mais elle avance.