Toussaint
AbonnéLa célèbre théologienne franco-suisse n’est pas qu’un puits de savoir académique. Elle a aussi vécu des VSCD, pour «vécus subjectifs de contact avec un défunt», qui l’ont apaisée et qu’elle détaille afin de contrer l’idée selon laquelle «on ne se remet pas de la mort d’un enfant»

Lytta Basset croit dans la vie après la mort. Normal, direz-vous, cette philosophe franco-suisse est pasteure, donc forcément emplie du message chrétien de la vie éternelle. Mais l’essayiste ne parle pas de ça dans Cet au-delà qui nous fait signe, qui vient de sortir aux Editions Albin Michel.