«Durabilité», «Upcycling»… Des concepts à la mode, aujourd’hui sur toutes les lèvres. Pas une entreprise qui ne s’efforce de se positionner comme sustainable ou respectueuse de l’environnement… Mais chez Miele, la durabilité n’est pas une tendance. C’est la philosophie même de l’entreprise, mise en pratique depuis plus de cent vingt ans. Cette entreprise familiale produit des appareils électroménagers haut de gamme, dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Leur «durabilité» n’est pas un label de plus, mais un simple fait: elle est le résultat de leur extrême longévité.

Quand l’art visuel se transpose en art culinaire…

Au quotidien, la durabilité se traduit par une alimentation et des choix d’équipements aussi respectueux que possible du climat. Miele combine ces deux piliers avec le projet, «SamePlateDifferent». L’entreprise a embarqué dans cette campagne des artistes aussi connus que les peintres Pascal Möhlmann et Cécile Giovannini ainsi que le duo d’artistes Huber.Huber. Tous ont été invités à exprimer leurs idées sur le thème de la durabilité dans différents motifs, qui ont ensuite été reproduits, à l’aide d’un procédé de sérigraphie sur céramique, sur plusieurs centaines d’assiettes de récupération.

Sur ces assiettes de la collection «SamePlateDifferent» – Nenad Mlinarevic, chef star et ambassadeur de la marque Miele, sert jusqu’à mi-novembre, dans son restaurant zurichois Neue Taverne, un menu qui traduira le travail des artistes en termes culinaires. Une véritable envolée gustative et sensorielle! Chacun des quatre plats du menu signe l’unité de l’art et de la cuisine, et est conçu comme une déclaration pour plus de durabilité.


Le chêne comme symbole de longévité


Le voyage culinaire commence par une entrée au nom évocateur, «A Taste of Eternity», disposée sur les assiettes revisitées par Pascal Möhlmann. Elles sont ornées d’une main au bleu de Delft, qui tient délicatement une feuille de chêne avec un gland.

L’artiste, qui avait déjà immortalisé Roger Federer sur une peinture à l’huile, explique qu’il a là encore interprété la thématique de la durabilité à un niveau symbolique: «Dans de nombreuses cultures, le chêne est un symbole d’éternité. On dit qu’il peut vivre jusqu’à 1000 ans. Je voulais signifier que le «durable» est beaucoup plus qu’une tendance.»

Nenad Mlinarevic fait écho à cette réflexion et dispose sur l’assiette de Pascal Möhlmanns des pommes de terre de montagne suisses avec du caviar végétal et de l’ail fermenté.

 


Burgers végétaux pour plantes carnivores


Pour le deuxième plat du menu et pour le plat principal, le duo composé des frères jumeaux Markus et Reto Huber, qui travaillent sous le label Huber.Huber, ont mis en scène sur les assiettes des fourmis suisses et une plante carnivore.

«Nous cherchions une idée drôle et qui ne soit pas trop moralisatrice. Les plantes carnivores, qui semblent jaillir de l’assiette, ne veulent rien tant qu’un morceau de viande saignante pour déjeuner. Au lieu de quoi, Nenad leur sert un burger végétal au substitut de viande», explique le duo d’artistes.

Et même sans ce rappel, les légumes sont les stars du restaurant de Nenad Mlinarevic, au cœur de la vieille ville de Zurich. On y cuisine avec des ingrédients de saison et le chef a l’ambition de faire des légumes les composants principaux et savoureux d’un plat, pas seulement un accompagnement.

Jeter littéralement des perles aux cochons

Pour le dessert, l’exceptionnel gastronome suisse propose des tartelettes ornées de perles d’argousier, de yaourt et de groseilles. Cela en hommage aux assiettes développées par Cécile Giovannini, parées d’un cochon noir et rose. Dans les assiettes on jettera donc véritablement des perles aux cochons, et on rappelle aux mangeuses et mangeurs d’accorder plus de valeurs aux aliments.


L’artiste valaisanne, elle-même végétarienne et engagée depuis des années dans un mode de vie durable, résume son travail: «Depuis quelques décennies, les gens se nourrissent d’aliments dont ils ne connaissent plus le contenu, ni les modes de production. Je trouve important qu’un mouvement d’opposition naisse et qu’on accorde à nouveau plus de valeur à quels ingrédients et composants atterrissent dans nos assiettes». Ce n’est pas un hasard si la création du dessert s’intitule «Honor thy Meal», ce qui peut tout à fait se comprendre comme une injonction aux hôtes du restaurant.


Une vente pour la bonne cause


Le menu «SamePlateDifferent» de Nenad Mlinarevic est encore proposé aux gourmets jusqu’au 6 novembre, le soir, dans la Neue Taverne à Zurich, pour 65 francs. Après la dégustation, il est possible d’acheter la collection d’assiettes directement online sur le site de Miele. Le montant total ainsi gagné sera remis à l‘association Tischlein deck dich comme dans le conte de Grimm Petite-Table-sois-mise, qui récupère les produits alimentaires voués à être détruits et les redistribue aux personnes touchées par la pauvreté dans toute la Suisse.

Miele x Durabilité

La longévité comme critère de durabilité

Acheter un appareil électroménager Miele, c’est faire le choix de la qualité et de la longévité. Chaque appareil Miele est conçu pour une espérance de vie de vingt ans. En cas de réparation, toutes les pièces de rechange sont disponibles au moins quinze ans – et ce, même si une série n’est plus produite.


Si, malgré cela, un appareil se casse, un service après-vente s’occupe des réparations et offre une nouvelle vie aux lave-vaisselle, fours et compagnie, reconditionnés. Et ce qui fonctionne longtemps est particulièrement durable.