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Olivier Boillat, juge des mineurs à Genève: «Les jeunes ne sont pas plus violents qu’avant, ils sont différents»

En marge de la série «Délits mineurs» coproduite et diffusée par la RTS, le président du Tribunal des mineurs évoque son métier. «Nous ne pratiquons pas une justice de bisounours», assure-t-il face aux critiques

Dans la série «Délits mineurs«, Bruno Peki est très efficace dans le rôle de Nathan, un fils de bonne famlle aussi arrogant qu'inquiétant. Derrière lui, son avocat  (Serge Musy). — © RTS/Philippe Christin
Dans la série «Délits mineurs«, Bruno Peki est très efficace dans le rôle de Nathan, un fils de bonne famlle aussi arrogant qu'inquiétant. Derrière lui, son avocat (Serge Musy). — © RTS/Philippe Christin

Ils s’appellent Marek, Loredana ou Santiago. Ils ont 15 ans, vivent à Genève et volent, dealent, consomment des drogues ou flirtent avec la violence et la prostitution. Du lourd, quoi. Rien de définitif cependant, car, «jusqu’à 25 ans le cerveau n’est pas fini et tous les espoirs sont permis».

Ces personnages attachants sont les héros de la série Délits mineurs, réalisée par Nicole Borgeat et diffusée sur la RTS et Play Suisse depuis jeudi dernier. A leurs côtés, une éducatrice, une inspectrice de police et une juge des mineurs, tout aussi attachantes dans leur souci d’aider ces jeunes en difficulté.

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