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Luxe et littérature, un roman dans l’air du temps

Depuis quelques années, le monde du luxe et celui de la littérature ne cessent de se rencontrer. Des collaborations, dont la valorisation bénéficie aux deux parties

 L’«habit vert» et l’épée d’académicien d’Antoine Compagnon ont été façonnés respectivement par Balenciaga et Boucheron. — © Kering
L’«habit vert» et l’épée d’académicien d’Antoine Compagnon ont été façonnés respectivement par Balenciaga et Boucheron. — © Kering

Un costume, une épée, un statut d’immortalité: non, on n’évoque pas ici un highlander. Le 11 mai dernier, Antoine Compagnon est reçu à l’Académie française. L’homme est à la fois écrivain, critique littéraire et éminent spécialiste de l’œuvre de Marcel Proust. Fondée en 1635 par le cardinal de Richelieu, l’Académie est une institution dont Paris a le secret. Quarante «immortels» comme on les surnomme, élus à vie pour défendre la langue et se réunir tous les jeudis sous la coupole de l’Institut de France. Les académiciens sont connus pour leur costume, pardon, leur «habit vert» et leur épée, signes distinctifs de leur fonction.

Lire aussi : «Au début, Proust a été mieux lu à l’étranger»

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