série d’été
Cet été, «Le Temps» court avec des personnalités du monde politique, économique et culturel qui chaussent régulièrement leurs baskets. L’invité choisit le parcours, l’heure et le tempo de la foulée… Chemin faisant, il confie son plaisir de la course à pied. Pourquoi court-il, un peu, beaucoup, passionnément? Après quoi court-il?

«Au bout d’un effort intense, j’ai pleuré». Olivier Français, municipal directeur des Travaux à Lausanne (17.08.2013)
Marathonien à travers le monde. Serge Dal Busco, maire de Bernex, candidat au Conseil d’Etat genevois (16.08.2013)
Peut-être 70 000 kilomètres au compteur. Jacques Jeannerat, directeur de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (15.08.2013)
Dans les terres d’un Chaux-de-Fonnier. Laurent Kurth, conseiller d’Etat neuchâtelois (14.08.2013)
«Le macadam comme une épreuve». Géraldine Savary, conseillère aux Etats vaudoise (13.08.2013)
«Dans un marathon, on ne peut pas tricher». Anton Affentranger, directeur général d’Implenia (12.08.2013)
«J’aime les courbatures d’après-course». Martina Chyba, journaliste-productrice à la RTS (09.08.2013)
«Courir, écrire, c’est le même élan». Daniel de Roulet, écrivain (08.08.2013)
«Une heure très précieuse, hors du tourbillon de la vie». Pierre Maudet, conseiller d’Etat genevois (07.08.2013)
«Chaque pas doit être accompli, tout le temps». Anne-Catherine Lyon, conseillère d’Etat vaudoise (06.08.2013)
«En courant, l’imagination est plus libre». Pascal Lamy, directeur général de l’OMC (05.08.2013)