Jeux olympiques
AbonnéLa mesure précise du temps est une question cruciale pour les athlètes. C’est aussi un enjeu pour les marques horlogères suisses, qui n’ont été mises sur la touche qu’une seule fois, lors du premier passage des Jeux à Tokyo en 1964

Sur les plaques de touche à la natation, sur les photos-finish au sprint, sur les tableaux de notation en gymnastique ou les panneaux de score dans les sports collectifs, le nom ou le sigle d’Omega sont partout. Une belle revanche pour la marque horlogère qui découvre Tokyo, au contraire des Jeux olympiques, déjà venus dans la capitale japonaise en 1964. Pourtant, Omega s’affiche comme «le chronométreur officiel des Jeux depuis 1932»…