Son récit commence dans le sang. En visite sur la tombe de Ma Anandamayi, une sainte indienne vénérée dans le sous-continent, Orianne Aymard, soudain, s’effondre. Elle a 25 ans et est atteinte d’une hémorragie cérébrale. L’instant dans sa vie est charnière. Elle n’en garde cependant que très peu de souvenirs, si ce n’est d’avoir «vu la lumière», celle qui mène à un autre monde.