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Athlètes transgenres, l’essentiel est de participer

Des Etats américains veulent bannir les transgenres du sport féminin au niveau des collèges et des universités. L’étudiante Lindsay Hecox a mené la bataille devant les tribunaux

Née garçon, Lindsay Hecox, 20 ans, rêvait d’intégrer l’équipe de cross-country féminine de l’Université d’Etat de Boise (Idaho). Mais une loi promulguée dans cet Etat en 2020 l'empêche d'exaucer son rêve. — © Joshua Roper/AFP
Née garçon, Lindsay Hecox, 20 ans, rêvait d’intégrer l’équipe de cross-country féminine de l’Université d’Etat de Boise (Idaho). Mais une loi promulguée dans cet Etat en 2020 l'empêche d'exaucer son rêve. — © Joshua Roper/AFP

Depuis des mois, Lindsay Hecox mène un combat qu’elle sait difficile, mais elle n’est pas seule. Elle a le soutien de personnalités sportives comme la footballeuse Megan Rapinoe, la basketteuse Candace Parker ou la tenniswoman Billie Jean King. Lindsay Hecox a 20 ans, des bouclettes rebelles et la folle envie d’intégrer l’équipe de cross-country féminine de l’Université d’Etat de Boise (Idaho). Mais si elle n’y parvient pas, c’est parce qu’elle est transgenre: Lindsay Hecox est née garçon. Alors, aidée notamment par la puissante ACLU (Union américaine pour les libertés civiles), elle a décidé de porter l’affaire devant la justice.

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