Football
AbonnéDéfenseur zélé du pays hôte, Gianni Infantino cristallise les critiques en Europe. Cela ne l’empêchera pas d’être réélu par le reste du monde mais la censure du brassard «One Love» a aussi déplu dans la sphère politique

L’image de ce début de Coupe du monde est sans conteste la photo d’équipe de l’Allemagne avant son match contre le Japon, le 23 novembre. Empêchés de porter le brassard «One love» en faveur notamment des droits des personnes LGBT, sévèrement réprimés au Qatar, les onze joueurs allemands posent en portant la main devant la bouche. Ils ne dénoncent plus les lois du pays hôte mais la censure de la Fédération internationale de football, la FIFA.