C’est le retour du cyclisme «à deux vitesses». «Sur le contre-la-montre, l’équipe X possède un avantage de 22 secondes, avant même de prendre le départ. Grâce à son matériel.» «Dans un sprint à 65 km/h, on a calculé que le vélo de l’équipe Y peut prendre 10 mètres d’avance sur 300 mètres.» «L’autre jour, en descente, j’étais obligé de pédaler à bloc pour m’accrocher dans les roues. Les coureurs de Deceuninck-Quick Step qui font le même poids que moi n’ont pas mis un coup de pédale. Ils sont entraînés par leur vélo.»