Rouler, manger, se laver: le rituel spartiate des cyclistes de la Transcontinental Race
Ultracyclisme
AbonnéLancés dimanche sur les routes européennes, les participants de la Transcontinental Race ont un maximum de seize jours pour rejoindre la côte bulgare de la mer Noire depuis les Flandres, avec un chrono qui ne s’arrête jamais
La nuit venait de tomber, dimanche à Grammont, dans les Flandres, lorsque les 276 concurrents de la huitième édition de la Transcontinental Race ont donné le premier coup de pédale d’une très longue série. Une cloche dans la nuit a sonné, des flambeaux se sont allumés le long des pavés, et dans l’obscurité on entendait les bruits sourds des pneus adhérant sur les pentes du «Muur-Kapelmuur», le célèbre mur de Grammont.