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AbonnéLe Bayern Munich, qui ambitionne jeudi de devenir champion du monde des clubs, a ajouté le bavarois à ses langues officielles, aux côtés du chinois, du russe ou du japonais. Pour ne pas se couper de sa base dans la mondialisation

Après avoir battu les Egyptiens d’Al-Ahly en demi-finale, le Bayern Munich tentera jeudi soir (19h) à Al-Rayyan (Qatar) de devenir champion du monde des clubs aux dépens des Tigres de Monterrey (Mexique). Le géant de Bavière est l’un de ces chantres de la globalisation qui font des tournées estivales aux Etats-Unis, calent leurs horaires de match sur les fuseaux horaires asiatiques et rêvent d’une Superligue européenne. Mais le Bayern, c’est aussi un club qui a ajouté l’an dernier une version bavaroise de son site, à côté des versions anglaise, espagnole, japonaise, russe et chinoise.
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