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«Le boycott de la Coupe du monde au Qatar n’est pas une bonne solution»

Responsable du bureau de l’Organisation internationale du travail à Doha, Max Tuñon parle de l’évolution des conditions de travail des ouvriers au Qatar à l’approche de la Coupe du monde. Beaucoup a été fait, beaucoup reste à faire

Travailleurs sur le site de construction du stade Al-Wakrah, Doha, Qatar, 2018. Karim Jaafar/AFP — © KARIM JAAFAR / AFP
Travailleurs sur le site de construction du stade Al-Wakrah, Doha, Qatar, 2018. Karim Jaafar/AFP — © KARIM JAAFAR / AFP

Le sort des ouvriers étrangers au Qatar est l’un des principaux volets de la controverse qui accompagne l’imminente Coupe du monde 2022 de football (20 novembre-18 décembre). D’un côté, le gouvernement qatari insiste sur l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. De l’autre, les organisations non gouvernementales (ONG) dénoncent une application déficiente des réformes, et des morts, tant de morts sur les chantiers du pays. Entre les deux, il y a l’Organisation internationale du travail (OIT), agence spécialisée de l’ONU, qui a ouvert un bureau à Doha en 2018. Max Tuñon, responsable de cette antenne «unique dans le Golfe», détaille au Temps ce qui a été fait… et ce qui reste à faire.

Le Temps: A mesure que la Coupe du monde approche, les appels au boycott se multiplient. Qu’en pensez-vous?

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